« Vous n’êtes point faits pour vous traîner servilement dans l’ornière des préjugés tyranniques tracée par vos devanciers, ou plutôt vous commencez une nouvelle carrière où personne ne vous a devancés. »
— Maximilien Robespierre

Du mépris par dépit,
Votre foi et votre cœur étant désunis,
De l’accès à ce dernier vous me voyez démuni !

Aigrie,
Remplie de pensées noires sous ce ciel gris,
Veuillez m’ouvrir un chemin sans que je ne dévie !
Au défi,
Je me mets d’apaiser votre tristesse,
Auprès de vous mon Altesse
Mes paroles feront écho,
Je demeure et demeurerais votre futur alter ego !

Ô douce églantine !

Faites-moi part de votre chagrin,
Laissez-moi m’enivrer de votre parfum !

Derrière ce mur froid qui enveloppe vos émotions,
Se trouve cette chaleur latente,
Qui voue à la passion la plus grande dévotion,
Et qui semble présager entre nous l’espoir d’une entente !

Sans pour autant prétendre être le brave salvateur pour vos névroses,
Je m’efforcerais de pratiquer l’hypnose pour vous ôter cet air morose,
Pour vous accorder une trêve, et faire de vos rêves une réalité !

J’effleure votre désaccord, je caresse votre réticence, vous persistez mais (en vain),
De ma détermination ces dires n’en sont que les prémices et

Enfin, laissez donc s’évaporer les cendres de votre amertume !
Laissez donc ma tendresse panser vos plaies et blessures !

« Vis pour ce que demain a à t’offrir et
non pour ce qu’hier t’a enlevé »