Illusion – Alcool / Espoir – Foi

Hautain consonne avec dédain
Et l’amour n’est pas leur ancêtre.
Aussi charmant que tu puisses être,
J’aimerais m’abstenir
De ces sentiments mondains.
Préserve-moi-en car il y a
D’autres besoins auxquels tu peux subvenir…

Oui, dans cette discussion tu t’enhardis !
Donc d’une avance hâtive je m’ interdis !

Non ma raison me ravise,
Je suis ravie
Que ta langue se délie
Enfin…

Tes paroles me semblent clairvoyantes,
Ces terrains d’entente verdoyants
Que tu prolifères
Font germer des plantes fleuries,
Quoi de plus solennel pour que tu libères,
Pour que tu délivres, un cœur attendri !

Jadis,
Mon cœur perdurait endolori
Malgré une hausse
De mon taux d’alcoolémie,

J’y trouvais une addiction
Pour soigner mes afflictions,
Mauvaise solution !

Mes sentiments devenaient inertes
Et ma foi désorientée !

Dorénavant,
Ces sentiments se libèrent
Car ta foi m’a réorientée !

Dans ton flot de promesses,
Dans l’amour que tu professes,
Noyées sont mes peines
Et mes douleurs passées
Qui par ta clarté
Me semblent lointaines !

Mon cœur enténébré,
Tu as su régénérer !

C’est dans ton affection
Et ta passionnée tendresse
Que l’amour réside,

Quand est-ce
Que La foi qui y préside,
Laissera germer entre nous
Une douce ivresse,
Pour nous, un doux présage !